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Hausse d'évaluation des maisons à Montréal


Les dernières statistiques publiés publiées par Royal Lepage (Étude sur le prix des maisons de Royal LePage) continuent de démontrer que le marché immobilier montréalais est vraiment en hausse actuellement.

Ces dernières statistiques comparent les 2e trimestres 2016 et 2015.

Ainsi, le prix des propriétés au centre de Montréal a augmenté de 4,9 % pour se chiffrer à 416 953 $. Ce qui est énorme sur un an.

D’autres chiffres

Pour la grande région métropolitaine qui inclut Laval, Longueuil, Vaudreuil, etc., le prix moyen des propriétés résidentielles a augmenté de 3,5 %.

Ce qui a amené le commentaire suivant de M. Dominic St-Pierre, de Royal LePage:

«  Nous observons actuellement des augmentations de prix plus agressives que ce que nous avons observé ces dernières années « .

Les propriétés les plus en demande

C’est surtout les maisons à deux étages qui ont vu leur évaluation augmenter substantiellement. L’augmentation moyenne est de 5,1%, à 437 378$.

Pour l’est de Montréal, l’augmentation est plus considérable, soit 6,2%, à 491 831$.

Certains prédisent même que ce segment de propriétés tend vers un marché de vendeurs d’ici la fin de l’année.

Pour les maisons à un étage (plain-pied), la hausse de l’évaluation est de 2,5 % à 283 755 $.

Les condos ? Une légère hausse de leur évaluation de 1,4 %, à 283 710 $.

Comment se comporte le reste du Canada ?

Le prix moyen d’une propriété au Canada est de 520 223 $, en hausse de 9,2 % depuis 1 an.

Cette forte hausse doit toutefois être remise dans on contexte géographique où deux marchés connaissent une vraie frénésie immobilière: Toronto et Vancouver.

À Vancouver, les prix ont explosé avec une hausse de 24,6 %.

Toronto, n’est pas en reste avec une hausse de 10,2 %.

Prédictions pour la fin 2016

Royal LePage prévoit que le prix moyen d’une propriété canadienne connaîtra une grande augmentation de 12,5 %, tirée vers le haut par les marchés de Vancouver et Toronto.

Laissons le mot de la fin à M. Phil Soper, président de Royal LePage:

«La croissance du marché devrait continuer d’être stimulée par les bas taux d’intérêt. Je crois qu’il s’agit de la valorisation la plus élevée jamais faite depuis le tournant du siècle».

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