On comprend que l'ingérence du courtage immobilier dans le secteur de l'évaluation immobilière fait très mal et c'est à se demander pourquoi l'OEAQ n'est pas intervenue à ce jour dans ce dossier. Peut-être pour ne pas se mettre à dos la FCIQ ainsi que l'accès aux données Centris.ca...
Néanmoins, à prendre le publ<code>ic pour ignare ne peut certes pas aider votre cause.
Quand vous mentionnez « Les agents immobiliers ne sont pas autorisés à fournir une évaluation professionnelle et légale. » On comprend aisément pour le volet légal mais pour le volet professionnel on repassera. Et quand vous mentionnez « Il n’y a aucune réglementation sur la façon dont ils calculent la valeur d’une propriété. » je vous inviterais à vous référer aux référentiels de compétence du courtage immobilier : https://www.oaciq.com/uploads/ckeditor/attachments/220/referentiel-courtage-immobilier-residentiel.pdf
https://www.oaciq.com/uploads/ckeditor/attachments/221/referentiel-courtage-immobilier-commercial.pdf
https://www.oaciq.com/uploads/ckeditor/attachments/222/referentiel-courtage-hypothecaire.pdf
Et quand vous mentionnez « Vous pourrez obtenir des valeurs très différentes d’un agent à l’autre. » vous n'êtes pas sans savoir qu'il en est de même chez les évaluateurs agréés.
D'autre part, dans votre article intitulé « Ordre des évaluateurs agréés du Québec et SCHL » vous faites mention que « Parce que les outils utilisés dans ces banques de données sont conçus par des vendeurs dont la préoccupation première est de conclure rapidement une vente au meilleur prix possible. Ces intervenants incluent courtier, banquier et assureur où chacun y trouve son compte dans la transaction. » Ce qui de toute évidence est vraie. En contrepartie, vous mentionnez dans le présent article ce qui suit « Cependant, les agents immobiliers sont honnêtes. Ils ne tentent pas d’induire en erreur le propriétaire quant à la valeur d’une propriété seulement pour obtenir un mandat. »
Un peu mal à droit de tenter de sauver la chèvre et le choux... et on comprend aisément l'entre ligne du début.
Mais enfin, les évaluateurs agréés seront reconnus comme professionnel à part entière quand ils sauront s'assumer et surtout, préserver leur champ de pratique envers et contre tous...
(No subject)
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On comprend que l'ingérence du courtage immobilier dans le secteur de l'évaluation immobilière fait très mal et c'est à se demander pourquoi l'OEAQ n'est pas intervenue à ce jour dans ce dossier. Peut-être pour ne pas se mettre à dos la FCIQ ainsi que l'accès aux données Centris.ca...Néanmoins, à prendre le publ<code>ic pour ignare ne peut certes pas aider votre cause.
Quand vous mentionnez « Les agents immobiliers ne sont pas autorisés à fournir une évaluation professionnelle et légale. » On comprend aisément pour le volet légal mais pour le volet professionnel on repassera. Et quand vous mentionnez « Il n’y a aucune réglementation sur la façon dont ils calculent la valeur d’une propriété. » je vous inviterais à vous référer aux référentiels de compétence du courtage immobilier : https://www.oaciq.com/uploads/ckeditor/attachments/220/referentiel-courtage-immobilier-residentiel.pdf
https://www.oaciq.com/uploads/ckeditor/attachments/221/referentiel-courtage-immobilier-commercial.pdf
https://www.oaciq.com/uploads/ckeditor/attachments/222/referentiel-courtage-hypothecaire.pdf
Et quand vous mentionnez « Vous pourrez obtenir des valeurs très différentes d’un agent à l’autre. » vous n'êtes pas sans savoir qu'il en est de même chez les évaluateurs agréés.
D'autre part, dans votre article intitulé « Ordre des évaluateurs agréés du Québec et SCHL » vous faites mention que « Parce que les outils utilisés dans ces banques de données sont conçus par des vendeurs dont la préoccupation première est de conclure rapidement une vente au meilleur prix possible. Ces intervenants incluent courtier, banquier et assureur où chacun y trouve son compte dans la transaction. » Ce qui de toute évidence est vraie. En contrepartie, vous mentionnez dans le présent article ce qui suit « Cependant, les agents immobiliers sont honnêtes. Ils ne tentent pas d’induire en erreur le propriétaire quant à la valeur d’une propriété seulement pour obtenir un mandat. »
Un peu mal à droit de tenter de sauver la chèvre et le choux... et on comprend aisément l'entre ligne du début.
Mais enfin, les évaluateurs agréés seront reconnus comme professionnel à part entière quand ils sauront s'assumer et surtout, préserver leur champ de pratique envers et contre tous...
Bonne chance ! info@gestiongenique.com