Voici la troisième et dernière partie d’articles s'adressant aux propriétaires immobiliers.
Cliquez ici pour le premier article Évaluateurs agréés: 10 conseils aux propriétaires.
Cliquez ici pour le deuxième article Évaluateurs agréés: 10 conseils aux propriétaires (suite).
La suite des conseils de l'Institut canadien des évaluateurs:
7. Rénovations
Vous décidez de rénover votre maison en refaisant la cuisine et en finissant le sous-sol.
Si vous en avez les moyens et que cet investissement est pour vous assurer un meilleur confort, allez-y. Cela ne regarde pas les évaluateurs agréés.
Par contre, si vous le faites avec une perspective d’investissement (ma maison vaudra plus cher), soyez aux aguets.
Nous avons rédigé 2 articles sur ce sujet :
La Valeur marchande : entretien VS rénovation : les différences entre l’entretien-réparation et la rénovation
Le 2e article, Rénover pour vendre ? répond à la question : Payant ou pas payant. Dans le meilleur des cas, vos rénovations vous donneront un retour sur investissement entre 75 % et 100 %. Dans les pires cas : 0 % à 25 %.
En contactant au préalable un évaluateur agréé, celui-ci pourra vous aider à calculer la valeur ajoutée à votre maison, après les rénovations.
8. Gains en capital
Vous faites plusieurs transactions immobilières ? Vous payez évidemment de l’impôt sur ces gains en capital. Engager un évaluateur agréé pourra vous assurer que ces gains sont bel et bien fondés sur la juste valeur marchande de la propriété immobilière vendue.
9. Protection d'assurance
Une évaluation fournie par un évaluateur agréé est un complément au travail des compagnies d’assurance. Vous obtiendrez ainsi un rapport détaillé sur votre propriété. Cela peut accélérer le traitement de votre demande en cas de sinistre.
10. Faillite
L’embauche d’un évaluateur agréé en cas de faillite peut s’avérer un choix judicieux, surtout si vos biens immobiliers sont la valeur la plus importante de vos avoirs. Celui-ci vous fournira la juste valeur marchande de votre actif immobilier.
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